Cliquez ici >>> đŸ» vous tous qui peinez sous le fardeau

voustous qui peinez sous le poids du fardeau. Il y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă  vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible Ă  la misĂšre d'autrui. Mais il y a des Ă©preuves extrĂȘmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir : injustice et rĂ©volte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes touchĂ©es. C'est Ă  ChersfrĂšres et sƓurs, 1. Les paroles que JĂ©sus prononce : « Venez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28) indiquent le mystĂ©rieux chemin de la grĂące qui se rĂ©vĂšle aux simples et qui offre un soulagement Ă  ceux qui peinent et qui sont fatiguĂ©s. Ces mots expriment la solidaritĂ© Ilnous donne un repos qui est cette paix intĂ©rieure dont l’évĂšnement n’est pas tributaire de circonstances extĂ©rieures. » Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le poids du fardeau, c’est tous ces soucis du moment que nous portons la gestion sans y intĂ©grer Dieu. Voustous qui peinez sous le fardeau - ChƓur Notre Dame Bordeaux 9,890 views Dec 14, 2017 43 Dislike Share Save ChƓur Notre-Dame de Bordeaux 328 subscribers "Vous tous qui peinez sous le fardeau", Voustous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ, tournez-vos cƓurs vers sa lumiĂšre, source de vie Ă©ternelle. Dans le dĂ©sert ou dans la nuit, Dieu marche avec son peuple. Dans le combat Site De Rencontres Extra Conjugales Belgique. Message du Pape François Ă  l’occasion de la XXVIIIE JournĂ©e Mondiale du Malade 2020 – 11 fĂ©vrier 2020 Venez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 Chers frĂšres et sƓurs, 1. Les paroles que JĂ©sus prononce Venez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 indiquent le mystĂ©rieux chemin de la grĂące qui se rĂ©vĂšle aux simples et qui offre un soulagement Ă  ceux qui peinent et qui sont fatiguĂ©s. Ces mots expriment la solidaritĂ© du Fils de l’homme, JĂ©sus-Christ, face Ă  une humanitĂ© affligĂ©e et souffrante. Que de personnes souffrent dans leur corps et dans leur esprit ! Il appelle tous les hommes Ă  aller vers lui, venez Ă  moi », et il leur promet soulagement et repos. Quand JĂ©sus dit cela, il a face Ă  lui les personnes qu’il rencontre chaque jour sur les routes de GalilĂ©e tant de gens simples, pauvres, malades, pĂ©cheurs, exclus par le poids de la loi et du systĂšme social oppressif
 Ces personnes l’ont sans cesse poursuivi pour Ă©couter sa parole – une parole qui donnait l’espĂ©rance » AngĂ©lus, 6 juillet 2014. En cette XXVIIIĂšme JournĂ©e Mondiale du Malade, JĂ©sus adresse son invitation aux malades et aux opprimĂ©s, aux pauvres qui savent bien qu’ils dĂ©pendent entiĂšrement de Dieu et qui, blessĂ©s par le poids des Ă©preuves, ont besoin de guĂ©rison. JĂ©sus-Christ, n’impose pas de lois Ă  ceux qui vivent l’angoisse de leur propre situation de fragilitĂ©, de douleur et de faiblesse, mais il offre sa misĂ©ricorde, c’est-Ă -dire sa personne qui les rĂ©conforte. JĂ©sus regarde l’humanitĂ© blessĂ©e. Lui, il a des yeux qui voient, qui s’aperçoivent, car ils regardent en profondeur. Il ne s’agit pas d’un regard rapide et indiffĂ©rent, mais qui s’attarde et accueille tout l’homme, tout homme, dans sa condition de santĂ©, sans Ă©carter personne, mais en invitant chacun Ă  entrer dans sa vie pour faire une expĂ©rience de tendresse. 2. Pourquoi JĂ©sus-Christ nourrit-il ces sentiments ? Parce qu’il s’est fait faible lui-mĂȘme, faisant ainsi l’expĂ©rience de la souffrance humaine et recevant Ă  son tour le rĂ©confort du PĂšre. De fait, seul celui qui fait personnellement cette expĂ©rience saura ĂȘtre un rĂ©confort pour l’autre. Il existe diverses formes graves de souffrance les maladies incurables et chroniques, les pathologies psychiques, celles qui nĂ©cessitent de la rééducation ou des soins palliatifs, les divers handicaps, les maladies de l’enfance et de la vieillesse
 Dans ces circonstances, on ressent parfois un manque d’humanitĂ© et il apparaĂźt alors nĂ©cessaire de personnaliser l’approche Ă  l’égard du malade, non plus seulement en soignant mais aussi en prenant soin, pour une guĂ©rison humaine intĂ©grale. Lorsqu’elle est malade, la personne ressent que, non seulement son intĂ©gritĂ© physique est compromise, mais aussi ses dimensions relationnelle, intellectuelle, affective et spirituelle. Elle attend donc, en plus des thĂ©rapies, un soutien, une sollicitude, une attention
 en somme, de l’amour. En outre, aux cĂŽtĂ©s du malade, il y a une famille qui souffre et qui demande, elle aussi, rĂ©confort et proximitĂ©. 3. Chers frĂšres et sƓurs malades, la maladie vous place d’une façon toute particuliĂšre parmi ceux qui sont fatiguĂ©s et opprimĂ©s », ceux qui attirent le regard et le cƓur de JĂ©sus. C’est de lĂ  que vient la lumiĂšre pour vos moments d’obscuritĂ©, l’espĂ©rance pour votre rĂ©confort. Il vous invite Ă  aller Ă  lui Venez ». En lui, en effet, les inquiĂ©tudes et les interrogations qui surgissent en vous, dans cette “ nuit ” du corps et de l’esprit, trouveront de la force pour ĂȘtre traversĂ©es. Certes, le Christ ne nous a pas donnĂ© de recettes, mais, par sa passion, sa mort et sa rĂ©surrection, il nous libĂšre de l’oppression du mal. Dans votre condition, vous avez certainement besoin d’un lieu pour vous rĂ©conforter. L’Église veut ĂȘtre toujours davantage et toujours mieux l’“ auberge ” du bon Samaritain qu’est le Christ cf. Lc 10, 34, Ă  savoir la maison oĂč vous pouvez trouver sa grĂące, qui s’exprime par la familiaritĂ©, l’accueil, le soulagement. Dans cette maison, vous pourrez rencontrer des personnes qui, guĂ©ries par la misĂ©ricorde de Dieu dans leur fragilitĂ©, sauront vous aider Ă  porter la croix en faisant de leurs propres blessures des ouvertures par lesquelles regarder l’horizon au-delĂ  de la maladie et recevoir la lumiĂšre et l’air pour votre vie. C’est dans cette Ɠuvre de rĂ©confort envers les frĂšres malades que se situe le service du personnel de santĂ©, mĂ©decin, infirmiers, agents sanitaires et administratifs, aides-soignants et volontaires qui, par leur compĂ©tence, agissent en faisant sentir la prĂ©sence du Christ, qui offre sa consolation et se charge de la personne malade en soignant ses blessures. Mais, eux aussi, sont des hommes et des femmes, avec leurs fragilitĂ©s et leurs maladies. Pour eux, en particulier, s’applique ce propos selon lequel une fois que nous avons reçu le repos et le rĂ©confort du Christ, nous sommes appelĂ©s Ă  notre tour Ă  devenir repos et rĂ©confort pour nos frĂšres, avec une attitude douce et humble, Ă  l’imitation du MaĂźtre » AngĂ©lus, 6 juillet 2014. 4. Chers agents du monde de la santĂ©, toute intervention diagnostique, prĂ©ventive, thĂ©rapeutique, de recherche, de soin et de rééducation, s’adresse Ă  la personne malade, oĂč le substantif “ personne ” prime toujours sur l’adjectif “ malade ”. Par consĂ©quent, votre action doit tendre constamment Ă  la dignitĂ© et Ă  la vie de la personne, sans jamais cĂ©der Ă  des actes de nature euthanasiste, de suicide assistĂ© ou de suppression de la vie, pas mĂȘme quand le stade de la maladie est irrĂ©versible. Dans l’expĂ©rience de la limite et mĂȘme de l’échec possible de la science mĂ©dicale face Ă  des cas cliniques toujours plus problĂ©matiques et Ă  des diagnostics funestes, vous ĂȘtes appelĂ©s Ă  vous ouvrir Ă  la dimension transcendante, qui peut vous offrir le sens plĂ©nier de votre profession. Rappelons que la vie est sacrĂ©e, qu’elle appartient Ă  Dieu et, par consĂ©quent, qu’elle est inviolable et qu’on ne peut en disposer cf. Instr. Donum vitae, n. 5 ; Enc. Evangelium vitae, n. 29-53. La vie doit ĂȘtre accueillie, protĂ©gĂ©e, respectĂ©e et servie, de la naissance Ă  la mort c’est Ă  la fois une exigence tant de la raison que de la foi en Dieu auteur de la vie. Dans certains cas, l’objection de conscience est pour vous le choix nĂ©cessaire pour rester cohĂ©rents au “ oui ” Ă  la vie et Ă  la personne. En tout cas, votre professionnalisme, animĂ© par la charitĂ© chrĂ©tienne, sera le meilleur service rendu au vrai droit humain le droit Ă  la vie. Quand vous ne pouvez pas guĂ©rir, vous pouvez toujours soigner grĂące Ă  des gestes et Ă  des procĂ©dures qui apportent soulagement et rĂ©confort au malade. HĂ©las, dans certains contextes de guerre et de conflit violent, le personnel de santĂ© et les structures qui s’occupent de l’accueil et de l’assistance des malades sont pris pour cibles. Dans certaines zones, le pouvoir politique aussi prĂ©tend manipuler l’assistance mĂ©dicale en sa faveur, limitant la juste autonomie de la profession sanitaire. En rĂ©alitĂ©, attaquer ceux qui se consacrent au service des membres souffrants du corps social ne profite Ă  personne. 5. En cette XXVIIIĂšme JournĂ©e Mondiale du Malade, je pense aux nombreux frĂšres et sƓurs qui, dans le monde entier, n’ont pas la possibilitĂ© d’accĂ©der aux soins, parce qu’ils vivent dans la pauvretĂ©. Je m’adresse donc aux institutions sanitaires et aux Gouvernants de tous les pays du monde, afin qu’ils ne nĂ©gligent pas la justice sociale au profit de l’aspect Ă©conomique. Je souhaite qu’en conjuguant les principes de solidaritĂ© et de subsidiaritĂ©, il soit possible de coopĂ©rer pour que tous aient accĂšs aux soins appropriĂ©s pour sauvegarder et retrouver la santĂ©. Je remercie de tout cƓur les volontaires qui se mettent au service des malades, en allant souvent supplĂ©er les carences structurelles et en reflĂ©tant, par des gestes de tendresse et de proximitĂ©, l’image du Christ bon Samaritain. Je confie Ă  la Vierge Marie, SantĂ© des malades, toutes les personnes qui portent le poids de la maladie, avec leurs familles, ainsi que tous les personnels de santĂ©. Je vous assure que je suis proche de vous tous dans la priĂšre et je vous envoie de grand cƓur la BĂ©nĂ©diction apostolique. Du Vatican, le 3 janvier 2020, MĂ©moire du Saint Nom de JĂ©sus. François 32 Jour liturgique Temps de l'Avent - 2e Semaine Mercredi Texte de l'Évangile Mt 11,28-30 Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger». Mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger» Aujourd'hui, JĂ©sus nous conduit au repos en Dieu. Dieu est certainement un PĂšre exigeant, parce qu’Il nous aime et nous invite Ă  tout lui donner, mais ce n’est pas un bourreau. Quand Il exige quelque chose de nous, c’est pour nous faire grandir dans son amour. L’unique commandement est d’aimer. On peut souffrir par amour, mais l’on peut aussi se rĂ©jouir et se reposer par amour
 La docilitĂ© Ă  Dieu libĂšre et agrandit le cƓur. C’est pourquoi JĂ©sus, qui nous invite Ă  renoncer Ă  nous-mĂȘmes pour prendre notre croix et le suivre, nous dit Mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger» Mt 11,30. MĂȘme si, parfois, il nous coĂ»te d’obĂ©ir Ă  la volontĂ© de Dieu, l’accomplir avec amour finit par nous remplir de joie Fais que je suive la trace de tes commandements, car en eux je me complais» Sal 119,35. J’aimerais raconter quelque chose. Parfois, aprĂšs une journĂ©e plutĂŽt Ă©puisante, quand je vais me coucher, je perçois une lĂ©gĂšre sensation intĂ©rieure qui me dit —Pourquoi n’entres-tu pas un moment dans la chapelle pour me tenir compagnie? AprĂšs quelques instants de surprise et de rĂ©sistance, je finis par accepter et passer quelques moments avec JĂ©sus. AprĂšs, je vais dormir en paix et trĂšs content, et le jour suivant je ne me rĂ©veille pas plus fatiguĂ© que de coutume. Mais d’autres fois, c’est le contraire qui m’arrive. Devant un problĂšme grave qui me prĂ©occupe, je me dis —Cette nuit, je prierai une heure dans la chapelle pour obtenir la solution. Et lorsque je me dirige vers cette chapelle, une voix me dit au fond du cƓur —Sais-tu? Tu me ferais bien plus plaisir si tu allais te coucher immĂ©diatement et me faisais confiance; je m’occupe de ton problĂšme. Et, me rappelant de mon heureuse condition de "serviteur inutile", je vais dormir en paix, abandonnant tout entre les mains du Seigneur
 Tout cela pour dire que la volontĂ© de Dieu se trouve lĂ  oĂč existe le plus grand amour, mais pas forcĂ©ment la plus grande souffrance
 Il y a plus d’amour Ă  se reposer grĂące Ă  la confiance, qu’à s’angoisser Ă  cause de l’inquiĂ©tude! Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos Aujourd'hui s'achĂšve le cycle des lectures de la fĂ©rie qui ont pour protagoniste le prophĂšte IsaĂŻe. Avec lui, nous nous sommes rendus compte que la venue du Messie a Ă©tĂ© annoncĂ©e prophĂ©tiquement. Attendre le retour du Seigneur, son “adventus”, exige du croyant la claire rĂ©solution de ne pas faiblir, quoiqu'il advienne. Car nous ne pouvons ignorer que l'attente ne sera pas toujours lĂ©gĂšre, et que l'on peut en venir Ă  penser que, de fait, compte tenu de notre faiblesse, nous n'obtiendrons pas la persĂ©vĂ©rance d'une vie chrĂ©tienne tenace. La tentation du dĂ©couragement est toujours proche de ceux qui sont faibles par nature. Nous pouvons aussi ĂȘtre trahis par l'oubli que le Royaume s'ouvre surtout un chemin par la volontĂ© de Dieu, en dĂ©pit des rĂ©sistances de ceux qui n'ont pas cette “dĂ©termination bien dĂ©terminĂ©e” de le chercher par-dessus tout, avec une prioritĂ© absolue. Trop souvent nous nous plaignons de notre fatigue, comme si, tous comptes faits, nous nous Ă©tions aperçu de la petitesse des rĂ©sultats obtenus et que, sans pouvoir l'Ă©viter, jaillisse de notre Ăąme, Ă  l'adresse du Seigneur, cette plainte plus ou moins explicite Pourquoi ne nous as-tu pas suffisamment aidĂ©? Ne vois-tu pas notre labeur?». Et c'est lĂ  notre pĂ©chĂ©! Nous convertissons Dieu en notre assistant, au lieu de comprendre que l'initiative vient toujours de lui et que c'est lui qui fournit le principal effort. IsaĂŻe, dans cette perspective eschatologique qui marque les premiĂšres semaines de l'Avent, nous rappelle que le pouvoir du Saint est aussi grand qu’irrĂ©sistible. En JĂ©sus-Christ nous trouvons l'accomplissement de ces paroles du prophĂšte. Venez Ă  moi ... et je vous procurerai le repos» Mt 11,28. Dans le cƓur aimant du Seigneur, nous trouvons tous le repos nĂ©cessaire et la force pour aller de l'avant et pouvoir ainsi l'attendre avec une charitĂ© rĂ©novĂ©e, tandis que notre Ăąme ne cesse de le bĂ©nir et que notre mĂ©moire se rappelle ses faveurs. Mercredi, 9 dĂ©cembre 2020 Saint Juan Diego Cuautlatoatzin Couleur liturgique violet Évangile selon saint Matthieu 11, 28-30 En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » PriĂšre Seigneur, je viens Ă  toi pour prier, pour te rencontrer. Ouvre mon cƓur Ă  ton amour, ouvre mon intelligence Ă  ta rĂ©vĂ©lation, fais que je puisse t’écouter, te voir dans la foi et me mettre Ă  ta suite. Demande Esprit Saint, viens prier en moi, viens adoucir et transformer mon cƓur sur le modĂšle du CƓur de JĂ©sus, apprends-moi Ă  ĂȘtre son disciple et Ă  accepter de porter ma croix. RĂ©flexion Aujourd’hui dans cet Évangile, c’est JĂ©sus qui prend la parole et qui me parle. Venez Ă  moi 
 » [
] Je suis doux et humble de cƓur. »JĂ©sus m’invite Ă  la confiance. Il est doux, il est proche. Il veut mon bien. Il veut que j’aille Ă  lui, que je lui parle, que je lui confie mes peines, mes soucis, tous mes dĂ©sirs, mon ĂȘtre, ma vie. Il est l’ami le plus intime de mon Ăąme, qui comprend tout ce qui m’arrive, qui connaĂźt les secrets de mon cƓur, mĂȘme ce que moi-mĂȘme je n’arrive pas Ă  exprimer ni Ă  formuler. Seigneur JĂ©sus, je viens Ă  toi et je te confie tout mon ĂȘtre, tous mes sentiments, toutes mes pensĂ©es, tout ce qui me prĂ©occupe, tout ce que j’aimerais rĂ©aliser. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples. » [
] Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. »Pour ĂȘtre ton disciple, il faut prendre la croix. Pourquoi la croix ? Je veux, Seigneur, ĂȘtre ton disciple, mais souvent je ne comprends pas la croix ou j’en ai peur ; parfois je la rejette, parfois elle me rĂ©volte. Accorde-moi la grĂące de contempler ta croix, de contempler la croix sur laquelle tu as acceptĂ© de mourir par amour pour moi et d’écouter ce que tu veux me rĂ©vĂ©ler. Tu dis que le joug est facile Ă  porter et que le fardeau est lĂ©ger
 Aide-moi Ă  comprendre que c’est toi qui le portes pour moi ; c’est toi qui le portes en moi, avec moi. Quand c’est toi qui le portes Ă  ma place, tout devient plus lĂ©ger et plus vivable, plus facile, plus joyeux mĂȘme. Vous trouverez le repos pour votre Ăąme. »Seigneur, je crois fermement que tu veux me soulager de toutes mes peines. Je crois fermement que tu veux unir mon Ăąme Ă  ton cƓur doux et humble. C’est dans ton CƓur que je trouve le repos de mon Ăąme. C’est dans ta croix que la puissance de ton amour me procure le repos, pour moi et pour toutes les personnes qui me sont chĂšres, pour les besoins du monde entier. Dialogue avec le Christ Seigneur, doux et humble de cƓur, j’ai confiance en doux et humble de cƓur, je me repose en toi. RĂ©solution Aujourd’hui, je rĂ©flĂ©chirai Ă  l’une de mes difficultĂ©s pour y mettre la douceur et l’humilitĂ© du Christ. CĂ©line Cochin, consacrĂ©e de Regnum Christi MĂ©ditations Regnum ChristiTexte de l’Évangile et informations liturgiques © AELF – Paris – Tous droits rĂ©servĂ©s Évangile de JĂ©sus Christ selon saint Matthieu 11,28-30. En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » Merci Ă  Florence pour l'illustration ! Si vous souhaitez vous aussi participer au partage de la Parole de Dieu par vos talents d'illustrateurs, n'hĂ©sitez pas Ă  nous Ă©crire sur le formulaire de prends un instant pour mĂ©diter toutes ces choses dans mon cƓur cf Luc 2,1927 commentairesQue vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi rĂ©pondre Ă  chacun comme il faut. Col 4 6loaderPrier avec l'Évangile du jour en image Venez Ă  moi, moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile Ă  porter et mon fardeau, lĂ©ger. Le joug de la Loi est une expression connue dans l’Ancien Testament pour exprimer l’obligation de la Loi. La figure n’est pas nĂ©cessairement pĂ©jorative. Il suffit de relire l’Éloge de la Loi que fait le psaume 119 qui parle des commandements comme d’une source de dĂ©lices verset 47, ou comme une expression de l’amour de Dieu De ton amour, YahvĂ©, la terre est pleine, apprends-moi tes volontĂ©s. verset 64 ou comme encore d’une expression de la sollicitude de Dieu Une lampe sur mes pas, ta parole, une lumiĂšre sur ma route. verset 105 Mais quand JĂ©sus parle d’un fardeau qui accable, il vise d’abord le fardeau imposĂ© par les interprĂ©tations des Pharisiens qui font de la Loi une question d’exactitude mĂ©ticuleuse et de comptabilitĂ© minutieuse Ă  assurer Ă  tout prix. C’est ce qu’illustreront les Ă©pisodes qui suivent notre texte. Le joug que JĂ©sus offre Ă©voque l’engagement dans la Nouvelle Alliance, l’entrĂ©e dans le Royaume. Il n’est pas un joug de domination puisqu’il ajoute Car je suis doux et humble de coeur, ce qui est la dĂ©finition des Pauvres ou des Petits de YahvĂ© dans l’Ancien Testament. Mais le fardeau peut avoir un sens plus gĂ©nĂ©ral le fardeau de la misĂšre humaine. Un peu plus tĂŽt, Matthieu disait de JĂ©sus qui venait de parcourir villes et villages A la vue des foules, il en eut pitiĂ©, car ces gens Ă©taient las et prostrĂ©s comme des brebis qui n’ont pas de pasteur. Matthieu 9,36 Le joug qui est le sien est donc une rĂ©ponse Ă  cette misĂšre et un appel Ă  venir recevoir la Vie. Jean Gobeil SJ

vous tous qui peinez sous le fardeau